Allo...Huston?
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Re: Allo...Huston?
gne...
jet conn. base spatiale, avec la carte, pour voir la direction la plus pertinente pour rejoindre une salle avec de quoi communiquer dedans vers l'extérieur...
jet conn. base spatiale, avec la carte, pour voir la direction la plus pertinente pour rejoindre une salle avec de quoi communiquer dedans vers l'extérieur...
Salem- Messages : 718
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Re: Allo...Huston?
Quand j'avais 8 ans, Harry et moi avions souvent l'habitude d'aller pêcher au lac Ol'Greedy. Un jour, il me dit: "fiston" -il lui arrivait déjà de perdre la tête à ce moment-là- "Fiston", donc "Il est des choses qu'un enfant doit apprendre très tôt, comme s'infiltrer chez ses voisins pour... hé bien, j'imagine pour tout un tas de bonnes raisons"
Et c'est ainsi qu'il m'appris à crocheter des serrures, à cracher au loin, à jurer comme un charetier et comment fabriquer un alambic artisanal.
Par contre, crocheter une porte sans serrure, ça sert pas à grand chose. La rouquine, après avoir jeté un regard sombre au gars qui agissait de façon un peu trop paternelle avec elle à son goût, examina la porte, le bar au loin en lancant un soupir dépité, puis à nouveau la porte, avant d'aviser la trappe d'entretien sur le côté.
Hé oui, toutes ces portes high-tech (ou moins high-tech mais fonctionnant sur le principe de l'électricité) ont ça de commun: elles doivent pouvoir s'ouvrir manuellement en cas de coupure d'électricité, histoire que des pauvres gars ne se retrouvent pas coincés comme des cons.
Alors, elle ouvre la trappe et commence à chipoter aux petits cables avec ses outils (et son trombonne), histoire de provoquer un court-circuit dans l'alimentation de la porte. Bon après, faudra l'ouvrir à la main, mais il y a assez de beaux mecs barraqués pour ce boulot ingrat.
HJ: partant du principe qu'il s'agit de ce genre de porte, sinon, elle fait quelque chose digne d'un ingénieur mais dont je n'ai pas connaissance.
Et c'est ainsi qu'il m'appris à crocheter des serrures, à cracher au loin, à jurer comme un charetier et comment fabriquer un alambic artisanal.
Par contre, crocheter une porte sans serrure, ça sert pas à grand chose. La rouquine, après avoir jeté un regard sombre au gars qui agissait de façon un peu trop paternelle avec elle à son goût, examina la porte, le bar au loin en lancant un soupir dépité, puis à nouveau la porte, avant d'aviser la trappe d'entretien sur le côté.
Hé oui, toutes ces portes high-tech (ou moins high-tech mais fonctionnant sur le principe de l'électricité) ont ça de commun: elles doivent pouvoir s'ouvrir manuellement en cas de coupure d'électricité, histoire que des pauvres gars ne se retrouvent pas coincés comme des cons.
Alors, elle ouvre la trappe et commence à chipoter aux petits cables avec ses outils (et son trombonne), histoire de provoquer un court-circuit dans l'alimentation de la porte. Bon après, faudra l'ouvrir à la main, mais il y a assez de beaux mecs barraqués pour ce boulot ingrat.
HJ: partant du principe qu'il s'agit de ce genre de porte, sinon, elle fait quelque chose digne d'un ingénieur mais dont je n'ai pas connaissance.
Ludmy- Messages : 995
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Re: Allo...Huston?
JF regardait les autres s'affairer sans comprendre ce qu'ils cherchaient à faire, il serrait son arme dans son sac banane, prêt à s'en servir au cas où, il ne savait pas à ce moment là que la sécurité était encore mise.
JF- Messages : 326
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Re: Allo...Huston?
HJ: Bon je dis que Travis se dirige vers la porte "accès interdit".
Travis n'abandonne pas. Il semble assez remonté par ces connards de la tour de contrôle qui ne l'ont absolument pas aidé, et même s'il n'y a curieusement pas âme qui vive jusqu'à présent, malgré la lumière, les vivres, le papier-cul tout frais dans les chiottes et l'air respirable, il ne renonce pas à l'idée d'aller fouiller de plus près. Il s'approche donc de la seule porte qui parait pouvoir mener à une hypothétique salle de contrôle du dock superposé d'un beau "Accès interdit". Il palpe la porte dans tous ses recoins, mais ne parvient pas à l'ouvrir. Il donne quelques coups d'épaule et de chaussure, mais la porte ne produit qu'un son mat sans fléchir.
JF qui s'était positionné un peu à l'arrière à côté du mec débrayé qui, avec Kiren, Travis et la mécano, semblait le seul mec sans pouvoir des environs. De plus, il avait lui aussi un fusil d'assaut comme la mécano, et c'était plutôt rassurant d'être à ses côtés.
La porte ouverte, Kiren fit un signe à 3 des antis qui hochèrent de la tête et avancèrent de l'autre côté.
RAS!
Finalement le directeur avec un large signe de main, donne l'ordre d'avancer. Tout le groupe pénètre dans une large salle où 4 funiculaires posés chacun sur les 4 rails de la rampe d'accès au niveau 1 les attendent bien sagement. A vu de nez, on dirait qu'il y a pile poil assez de place pour tout le monde.
Travis n'abandonne pas. Il semble assez remonté par ces connards de la tour de contrôle qui ne l'ont absolument pas aidé, et même s'il n'y a curieusement pas âme qui vive jusqu'à présent, malgré la lumière, les vivres, le papier-cul tout frais dans les chiottes et l'air respirable, il ne renonce pas à l'idée d'aller fouiller de plus près. Il s'approche donc de la seule porte qui parait pouvoir mener à une hypothétique salle de contrôle du dock superposé d'un beau "Accès interdit". Il palpe la porte dans tous ses recoins, mais ne parvient pas à l'ouvrir. Il donne quelques coups d'épaule et de chaussure, mais la porte ne produit qu'un son mat sans fléchir.
De son côté, Patty s'approche du côté de la porte, retire le devant du boitier marqué d'un beau logo Par contre ce qui se trouve derrière est assez déconcertant. Il y a une bonne vingtaine de fils, tous noirs, joliement allignés les un à la suite des autre. Vu la taille de la porte, couper le mauvais fil pourrait bien lui faire un maga-bobo. Finalement, elle se recule un peu pour réfléchir...vers la porte elle-même. Le chambranle, lui aussi recouvert des mêmes signaleurs qu'autour de la porte par laquelle elle a pénétré le hall se met à clignoter en vert, et l'imposante porte s'ouvre lentement. |
JF qui s'était positionné un peu à l'arrière à côté du mec débrayé qui, avec Kiren, Travis et la mécano, semblait le seul mec sans pouvoir des environs. De plus, il avait lui aussi un fusil d'assaut comme la mécano, et c'était plutôt rassurant d'être à ses côtés.
La porte ouverte, Kiren fit un signe à 3 des antis qui hochèrent de la tête et avancèrent de l'autre côté.
RAS!
Finalement le directeur avec un large signe de main, donne l'ordre d'avancer. Tout le groupe pénètre dans une large salle où 4 funiculaires posés chacun sur les 4 rails de la rampe d'accès au niveau 1 les attendent bien sagement. A vu de nez, on dirait qu'il y a pile poil assez de place pour tout le monde.
Marthus- Messages : 1197
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Re: Allo...Huston?
Et hop, il suffit qu'on parle en hrp d'un ascenseur voisin qui s'écrase dans une extension Half-life pour que plus personne n'ose poster une réponse ici.
La rouquine regarde les funiculaires... 4, rien que ça. Dans le genre, les mecs sur cette station sont tous soit impatients et ne peuvent attendre plus de 10 secondes après un moyen de transport, soit bénéficient d'un budget monstrueusement élevé pour bâtir leur petite base.
Bref, on va pas la jouer à la vogelpik, Patty se dirige vers celui de droite... Le 4, son numéro fétiche.
La rouquine regarde les funiculaires... 4, rien que ça. Dans le genre, les mecs sur cette station sont tous soit impatients et ne peuvent attendre plus de 10 secondes après un moyen de transport, soit bénéficient d'un budget monstrueusement élevé pour bâtir leur petite base.
Bref, on va pas la jouer à la vogelpik, Patty se dirige vers celui de droite... Le 4, son numéro fétiche.
Ludmy- Messages : 995
Date d'inscription : 06/01/2008
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Re: Allo...Huston?
Tiens des funiculaires, ça doit être marrant avec l'attraction lunaire... Travis s'en balance les steacks et prend un funiculaire qui n'est pas louche, quoi que tout est l'air neuf mais n'inspire pas confiance...
Salem- Messages : 718
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Re: Allo...Huston?
Les trois antis qui avaient disparu revinrent pour annoncer leur manque cuisant de découvertes.
Pas plus que dans le hall, il n'y avait personne ici. Par contre ils avaient mis en marche les quatre navettes vers le centre de la Lune qui s'allumaient alors que tout le monde montait dedans calmement.
La masse des antis qui jusqu'à présent avait plutôt remarquablement fermé sa gueule, commença à murmurer. Ils trouvaient toute cette situation étrange. On pouvait entendre des bribes racontées à leurs voisins "Jamais vu ça...", "C'est quoi cette mission?..." On sentait l'inquiétude et le déroutement remplacer peu à peu le stress et l'adrénaline.
Les 4 cabines étaient toutes super hi-tech et recelaient même de nombre de trésors dont un petit bar proposant tout un choix de boisons varié. C'était une obsession ici de picoler!
Une manette actionnée et les trains obliques commencent à prendre de la vitesse avec une accélération douce et constante.
Sur un écriteau, des chiffres défilent comme à rebours. Après un moment, il est facile de comprendre que c'est le temps qui les séparent de l'arrivée.
17 min...
Arrivés en bas, les passagers découvrent un autre pont comme celui situé en haut de la rampe. Les portes s'ouvrent...
Sur un mur, un plan.
Ok ok j'aurai pu le faire avant...là pas trop le temps, mais je vais essayer de le faire dans l'aprèm promis!
Pas plus que dans le hall, il n'y avait personne ici. Par contre ils avaient mis en marche les quatre navettes vers le centre de la Lune qui s'allumaient alors que tout le monde montait dedans calmement.
La masse des antis qui jusqu'à présent avait plutôt remarquablement fermé sa gueule, commença à murmurer. Ils trouvaient toute cette situation étrange. On pouvait entendre des bribes racontées à leurs voisins "Jamais vu ça...", "C'est quoi cette mission?..." On sentait l'inquiétude et le déroutement remplacer peu à peu le stress et l'adrénaline.
Les 4 cabines étaient toutes super hi-tech et recelaient même de nombre de trésors dont un petit bar proposant tout un choix de boisons varié. C'était une obsession ici de picoler!
Une manette actionnée et les trains obliques commencent à prendre de la vitesse avec une accélération douce et constante.
Sur un écriteau, des chiffres défilent comme à rebours. Après un moment, il est facile de comprendre que c'est le temps qui les séparent de l'arrivée.
17 min...
Arrivés en bas, les passagers découvrent un autre pont comme celui situé en haut de la rampe. Les portes s'ouvrent...
Sur un mur, un plan.
Ok ok j'aurai pu le faire avant...là pas trop le temps, mais je vais essayer de le faire dans l'aprèm promis!
Marthus- Messages : 1197
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Re: Allo...Huston?
"Putain je comprend quedal... quelqu'un comprend quelque chose?"
Si personne ne dis mots, je vais avec mon gang dans la salle "entrée interdite"
Si personne ne dis mots, je vais avec mon gang dans la salle "entrée interdite"
Salem- Messages : 718
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Re: Allo...Huston?
Patty regarde le plan longuement, jusqu'à ce qu'il apparaisse encore dans sa retine lorsqu'elle cligne des yeux
Hep là, pilote de mon coeur. Si on allait déjà à l'accueil, non? Bon, c'est pas parce qu'aucun de ces cons n'est venu à notre rencontre qu'il faut commencer à fouiller dans leurs trucs.
Mais à l'accueil, on va bien trouver quelqu'un, non?
C'est qu'elle ferait presque preuve de tact, la greluche. Ou alors, elle se dit qu'il y a peut-être un petit verre de l'amitié prévu pour leur arrivée... Au fait, pourquoi la cantine se trouve-t-elle à 20 min de funiculaire du grand dôme. Rhalala, ces ingénieurs et architectes, on voit bien qu'ils créent des batiments pour l'argent et non pour y vivre.
Hep là, pilote de mon coeur. Si on allait déjà à l'accueil, non? Bon, c'est pas parce qu'aucun de ces cons n'est venu à notre rencontre qu'il faut commencer à fouiller dans leurs trucs.
Mais à l'accueil, on va bien trouver quelqu'un, non?
C'est qu'elle ferait presque preuve de tact, la greluche. Ou alors, elle se dit qu'il y a peut-être un petit verre de l'amitié prévu pour leur arrivée... Au fait, pourquoi la cantine se trouve-t-elle à 20 min de funiculaire du grand dôme. Rhalala, ces ingénieurs et architectes, on voit bien qu'ils créent des batiments pour l'argent et non pour y vivre.
Ludmy- Messages : 995
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Re: Allo...Huston?
Patty s'engage donc en premier vers la porte du pont qui ressemble à s'y méprendre à celle du hall quelques centaines de mètres au dessus. Encore une fois, le pourtour de l'immense accès clignote légèrement de vert avant que de puissantes machines se mettent à ronronner doucement pour l'ouvrir. Il est étrange que d'aussi imposantes porte soient placées ici alors que toutes les autres ne sont pas énormément plus grandes que des humains. Avec ces grosses portes, on aurait pu faire passer une navette entière ou presque!
De l'autre côté par contre, tout entre dans la démesure. L'allée qui semble faire le tour du niveau est immense. Tant en largeur qu'en hauteur. Toute la petite équipe pouvait y passer sans problème de front. De la lumière synthétique du jour illuminait des bancs et des pots de fleurs éparpillés ça et là. On se serait cru dans une allée de galerie marchande sous une verrière, mais en beaucoup plus grande. En fait, les deux plans rencontrés n'étaient pas du tout à la même échelle. La place qu'occupait le hall était dérisoire face à celle du niveau 1. Et c'était un poil problématique sachant qu'on ne voyait...personne! S'il fallait chercher âme qui vive dans toute une miniville, ça s'annonçait fort compliqué.
L'accueil se présentait à eux. Il était presque aussi grand qu'une de ces anciennes églises qu'on voit encore et toujours dressées malgré les nombreux bombardements de la guerre. Les portes en plastique souple se roulèrent à l'arrivée des visiteurs. Encore une fois, personne.
La salle était donc plutôt grande. De nombreux présentoirs exposaient des prospectus en tous genres. Il y avait là aussi tout le confort qu'on eu pu rêver et même un distributeur de boissons chaudes ou fraiches et un de nourriture gratuits. Un large bureau qui en temps normal aurait du accueillir une dizaine d'hôtesses les unes suffisamment espacées des autres afin de pouvoir parler librement à leur questionneurs sans que les différentes discutions puissent se gêner les unes les autres. Là encore le bureau était recouvert de prospectus divers...et d'une boîte en carton ouverte posée au milieu. Il n'y avait aucune inscription sur ce dernier.
Kiren été resté à la porte avec la vieille dame chétive qui portait toujours son arme à la main tandis que nombre des autres les avaient placées dans leurs holsters décidant qu'il n'y avait plus vraiment de danger. Ils regardaient évoluer tout le monde sans exprimer la moindre émotion. Le mec débrayé était entré et scrutait différents prospectus en fronçant les sourcils. Plusieurs antis en faisaient de même tandis que d'autres finissaient de revenir de leur stupéfaction face à la grandeur des lieux.
De l'autre côté par contre, tout entre dans la démesure. L'allée qui semble faire le tour du niveau est immense. Tant en largeur qu'en hauteur. Toute la petite équipe pouvait y passer sans problème de front. De la lumière synthétique du jour illuminait des bancs et des pots de fleurs éparpillés ça et là. On se serait cru dans une allée de galerie marchande sous une verrière, mais en beaucoup plus grande. En fait, les deux plans rencontrés n'étaient pas du tout à la même échelle. La place qu'occupait le hall était dérisoire face à celle du niveau 1. Et c'était un poil problématique sachant qu'on ne voyait...personne! S'il fallait chercher âme qui vive dans toute une miniville, ça s'annonçait fort compliqué.
L'accueil se présentait à eux. Il était presque aussi grand qu'une de ces anciennes églises qu'on voit encore et toujours dressées malgré les nombreux bombardements de la guerre. Les portes en plastique souple se roulèrent à l'arrivée des visiteurs. Encore une fois, personne.
La salle était donc plutôt grande. De nombreux présentoirs exposaient des prospectus en tous genres. Il y avait là aussi tout le confort qu'on eu pu rêver et même un distributeur de boissons chaudes ou fraiches et un de nourriture gratuits. Un large bureau qui en temps normal aurait du accueillir une dizaine d'hôtesses les unes suffisamment espacées des autres afin de pouvoir parler librement à leur questionneurs sans que les différentes discutions puissent se gêner les unes les autres. Là encore le bureau était recouvert de prospectus divers...et d'une boîte en carton ouverte posée au milieu. Il n'y avait aucune inscription sur ce dernier.
Kiren été resté à la porte avec la vieille dame chétive qui portait toujours son arme à la main tandis que nombre des autres les avaient placées dans leurs holsters décidant qu'il n'y avait plus vraiment de danger. Ils regardaient évoluer tout le monde sans exprimer la moindre émotion. Le mec débrayé était entré et scrutait différents prospectus en fronçant les sourcils. Plusieurs antis en faisaient de même tandis que d'autres finissaient de revenir de leur stupéfaction face à la grandeur des lieux.
Marthus- Messages : 1197
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Re: Allo...Huston?
" -bwarf, je savais bien qu'il y aurai quedal à l'accueil, y'avait déjà personne dans le précédent alors...
bon, elle est ou cette foutue salle des radios? on tente l'entrée interdite? "
bon, elle est ou cette foutue salle des radios? on tente l'entrée interdite? "
Salem- Messages : 718
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Re: Allo...Huston?
JF profita que tout le monde s'en était écarté pour s'approcher du plan qu'il contempla longuement. Après s'être assuré d'avoir en tête assez d'informations sur les lieux pour éviter de se perdre, il regarda autour de lui, puis revint sur le plan.
Putain, c'est vraiment immense ici...
Le complexe devait pouvoir abriter au moins... pffff... beaucoup trop de ces choses, il devait y avoir une armée quelque part qui les attendait!
Bon on est ici, là c'est les toilettes, y'en a pas d'autres, alors je dirai que...
JF se dirigea vers les toilettes, autant pour se rendre compte du nombre potentiel de personnes vivant ici* que pour soulager les troubles intestinaux qui avaient commencé dans l'appareil lorsqu'il s'était rendu compte avec qui il voyageait, et qui s'étaient amplifiés pendant la descente en funiculaire.
[* si y'a pas beaucoup de chiottes c'est qu'il n'y a pas beaucoup de monde, ou alors il ont pas prévu les crises de gastro!]
Putain, c'est vraiment immense ici...
Le complexe devait pouvoir abriter au moins... pffff... beaucoup trop de ces choses, il devait y avoir une armée quelque part qui les attendait!
Bon on est ici, là c'est les toilettes, y'en a pas d'autres, alors je dirai que...
JF se dirigea vers les toilettes, autant pour se rendre compte du nombre potentiel de personnes vivant ici* que pour soulager les troubles intestinaux qui avaient commencé dans l'appareil lorsqu'il s'était rendu compte avec qui il voyageait, et qui s'étaient amplifiés pendant la descente en funiculaire.
[* si y'a pas beaucoup de chiottes c'est qu'il n'y a pas beaucoup de monde, ou alors il ont pas prévu les crises de gastro!]
JF- Messages : 326
Date d'inscription : 17/01/2008
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Re: Allo...Huston?
[Bah dans l'idéal, faudrait se demander ce que peut bien signifier Q de QA QB QC QD...]
Marthus- Messages : 1197
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Re: Allo...Huston?
Mmhhh... Personne?
Elle regarde autour d'elle puis lache une bordée de jurons fleuris que je n'ose répèter ici avant de se diriger vers un des interphones de la pièce qu'elle actionne, au petit bonheur la chance.
A-llooooo? Quelqu'un? Houhouuuuuuuuu?
Puis elle attend - mais pas trop longtemps, la patience n'étant pas sa plus grande qualité
Elle regarde autour d'elle puis lache une bordée de jurons fleuris que je n'ose répèter ici avant de se diriger vers un des interphones de la pièce qu'elle actionne, au petit bonheur la chance.
A-llooooo? Quelqu'un? Houhouuuuuuuuu?
Puis elle attend - mais pas trop longtemps, la patience n'étant pas sa plus grande qualité
Ludmy- Messages : 995
Date d'inscription : 06/01/2008
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Re: Allo...Huston?
Travis est nerveux. On ne lui donne visiblement pas assez l'occasion de tuer des gens dans sa profession. Découper quelques humains en fine particules et les éparpiller sur quelques mètres à l'aide du joujou qu'il a entre les doigts, ça ça le tenterait bien! Mais les autres semblent plus intéressés par découvrir où se cacherait cet hypothétique ennemi. Machinalement, alors qu'il attend que tous ces cons arrêtent de mater les prospectus qui trainent un peu partout, son regard tombe sur l'un d'eux. Ce n'est pas un plan de la cité qui y est imprimé, plus une sorte de publicité.
"Avec Vonix voyez la vie d'un oeil heureux!"
Qu'est ce que c'était que ces conneries? C'était quoi cette pub pourave d'un autre temps?
De son côté, celui qui se prenait pour un intrus flânait dans les toilettes. Elles n'étaient pas aussi grandes qu'il y paraissait d'après le plan. Peut être qu'un système de retraite des déchets humains se cachait derrière le fond. En tout cas, malgré un nombre conséquent de trônes, on aurait pu trouver pareils WC un peu partout dans tous les astroports du monde. Ces chiottes ne devaient pas servir pour tout le monde, le plan et la démesure des lieux indiquaient un grand nombre d'habitants. Soit c'était la queue perpétuelle à l'entrée, soit d'autres sanitaires non indiqués étaient éparpillés un peu partout...
Le bon raciste prit donc le temps de vider le trop plein. Si tout ceci n'avait pas paru aussi étrange, peut être aurait-il pu siffler?
Allo allo?
La mécano appuie sur le bouton rouge vachement design qui correspond en fait au micro de sécurité et d'information. C'est bien simple, c'est le plus gros...et le plus tentant!
Sa voix et amplifiée quelques dizaines de fois et on entend l'écho de sa douce voix d'irlandaise rebondir ça et là. Son appel a surement été envoyé dans tout le niveau, si ce n'est dans la base entière.
Alors que le son, après sa courte existence jouissive à rebondir un peu partout, visitant chacune des pièces du niveau, mourut, il ne se passa rien...du moins pendant quelques secondes. Puis le carton, posé négligemment sur le bureau de l'office et qui n'avait pas attiré l'attention qui aurait pu lui être due, se mit à vrombir. C'est vachement high-tech un carton qui vrombit non?
Un truc s'élève en dehors de son paquet. Tout d'abord il est difficile de savoir de quoi il s'agit avant de voir des yeux et une bouche se dessiner sur sa surface blanche nacrée.
Bonjour! Je suis le robot de protocole RP-117. Bienvenue dans l'établissement AEcr...
A TERRE VITE!!!
C'est le type débraillé, le bras droit de Kiren, qui vient de gueuler comme un putois, coupant de fait la parole au robot le mal poli!
En fait, sa judicieuse intervention est arrivée trop tard. Les quelques antis dont le cerveau était capable d'analyser plus de 24 images par secondes, se mirent en vision accélérée. Ils eurent donc le temps de voir le visage du robot se muer en un grotesque masque avant de comprendre que c'était le robot tout entier qui se dilatait, comme si de grosses bulles poussaient à sa surface. Le robot, d'un blanc immaculé eut sa teinte qui vira ensuite vers le jaune, puis le orange léger, avant que s'accélère l'explosion. Le orange se mua rapidement en rouge, puis en noir carbonisé alors que l'enveloppe du robot se déchirait. Les flammes et le souffle se propagèrent avec une étonnante rapidité, remplissant très rapidement l'accueil d'une géante boule de feu. La vision, comme une caméra qui filmait très rapidement, donc au ralenti, ne servait à rien pour prendre la fuite. Le corps, lui avait ses limites. Et c'est ainsi que comme tous les autres, les antis qui avait vu le détail de l'explosion ne firent que mettre les bras devant leur visage. Offrant par réflexe ce dérisoire barrage au souffle puissant et à la chaleur insoutenable.
Le souffle se propagea en dehors de l'accueil, propulsant une fumée opaque et très sombre dans le hall immense, avant que les flammes et les boules de feu percent au travers d'elle. L'explosion atteint les toilettes quelques millisecondes après avoir ravagé l'accueil.
Encore une fois, le son se propagea un peu partout, avant que le souffle ne fasse effondrer le plafond très haut au dessus du sol qui se noircissait.
Le silence revint, les lumières s'éteignirent et celles rouges signalant un danger et une évacuation précipitée de la base se mirent à clignoter. Une alarme se fit entendre du fin fond du niveau, de l'autre côté des éboulis alors que de grandes plaques de plafond vacillaient puis s'effondraient. Autours de l'accueil, il n'y avait pas d'alarme, toutes avaient brûlées.
Patty avait mal. La vache, être si prêt de l'explosion et en sortir vivante! C'était incompréhensible...Remarquez, elle était du bon côté du bureau. L'explosion avait principalement été orienté vers la sortie de l'accueil et un reste de robot avait été projeté dans l'autre sens, vers le mur du fond derrière le bureau. Le robot gisait à côté de la mécano. La vache, elle morflait grave! Et sa peau la picotait sévèrement là où sa combinaison de la recouvrait pas. Elle put cependant se rassurer en constatant que ses cheveux ne cramaient pas, et étaient toujours là! Ces shampoings de protection fabriqués pour les mécanos qui bossaient en milieux dangereux et qui pouvaient côtoyer des flammes faisaient de vrais miracles! Bordel, mais qu'est ce qu'elle avait au flanc gauche? Ça faisait vraiment mal!
En fait, l'irlandaise avait été propulsée contre le rebord d'un présentoir, qu'elle s'était pris au niveau du flanc gauche. Peut-être s'était-elle cassé quelque chose? En tout cas, ce n'était probablement pas le moment de se soucier de ça. Un morceau de plafond s'effondra, et il s'en fallu d'un cheveu, et d'un réflexe bien venu pour qu'elle se le prenne dans la tronche et que sa tête écrasée n'arrête définitivement sa participation dans ce merdier...
Travis lui se porte comme un charme! Il était directement à l'entrée de l'accueil, aussi, lorsque la bombe explosa, il fut projeté à l'extérieur et la porte en plastique mou ne lui fit pas un mal insupportable. Elle lui fit moins mal du moins que le pot de fleur qui lui broya la jambe droite alors qu'il le percuta et que le sol sur lequel il rebondit, ainsi que l'écran oled qu'il traversa en le déchirant et en s'enfonçant des milliers de nanoleds dans la peau. Pire que tout, il ne savait pas bien où était passé son fusil. Peut être que c'était ça l'enfer! Handicapé, sous un plafond en train de s'effondrer, et sans fusil à pompe pour tirer dans les marais...
Chez Water, c'est la porte qui avait été propulsée. Un poil déchirée elle percuta JF qui fut déséquilibré vers l'avant...Se vautrant dans la fontaine à impesanteur, il se retrouva couvert de pisse mêlée à l'eau désodorisante. Toute fois, il eut bien été stupide de s'en plaindre! Avoir été jeté dans le liquide peut ragoûtant lui sauva la vie. Car si le souffle brûlant s'échappa de l'accueil, il pénétra les toilettes. La différence en fut un état de surpression qui crama tout ce qui s'y trouvait. Dans la pissotière, une bonne partie de l'eau et de l'urine se vaporisa instantanément, mais l'épaisseur de liquide fut suffisante pour protéger l'esseulé. Après avoir patiemment attendu que la boule de feu s'apaise, il put ressortir et constater qu'il n'avait subit strictement aucun autre dommage que de puer légèrement...
"Avec Vonix voyez la vie d'un oeil heureux!"
Qu'est ce que c'était que ces conneries? C'était quoi cette pub pourave d'un autre temps?
De son côté, celui qui se prenait pour un intrus flânait dans les toilettes. Elles n'étaient pas aussi grandes qu'il y paraissait d'après le plan. Peut être qu'un système de retraite des déchets humains se cachait derrière le fond. En tout cas, malgré un nombre conséquent de trônes, on aurait pu trouver pareils WC un peu partout dans tous les astroports du monde. Ces chiottes ne devaient pas servir pour tout le monde, le plan et la démesure des lieux indiquaient un grand nombre d'habitants. Soit c'était la queue perpétuelle à l'entrée, soit d'autres sanitaires non indiqués étaient éparpillés un peu partout...
Le bon raciste prit donc le temps de vider le trop plein. Si tout ceci n'avait pas paru aussi étrange, peut être aurait-il pu siffler?
Allo allo?
La mécano appuie sur le bouton rouge vachement design qui correspond en fait au micro de sécurité et d'information. C'est bien simple, c'est le plus gros...et le plus tentant!
Sa voix et amplifiée quelques dizaines de fois et on entend l'écho de sa douce voix d'irlandaise rebondir ça et là. Son appel a surement été envoyé dans tout le niveau, si ce n'est dans la base entière.
Alors que le son, après sa courte existence jouissive à rebondir un peu partout, visitant chacune des pièces du niveau, mourut, il ne se passa rien...du moins pendant quelques secondes. Puis le carton, posé négligemment sur le bureau de l'office et qui n'avait pas attiré l'attention qui aurait pu lui être due, se mit à vrombir. C'est vachement high-tech un carton qui vrombit non?
Un truc s'élève en dehors de son paquet. Tout d'abord il est difficile de savoir de quoi il s'agit avant de voir des yeux et une bouche se dessiner sur sa surface blanche nacrée.
Bonjour! Je suis le robot de protocole RP-117. Bienvenue dans l'établissement AEcr...
A TERRE VITE!!!
C'est le type débraillé, le bras droit de Kiren, qui vient de gueuler comme un putois, coupant de fait la parole au robot le mal poli!
En fait, sa judicieuse intervention est arrivée trop tard. Les quelques antis dont le cerveau était capable d'analyser plus de 24 images par secondes, se mirent en vision accélérée. Ils eurent donc le temps de voir le visage du robot se muer en un grotesque masque avant de comprendre que c'était le robot tout entier qui se dilatait, comme si de grosses bulles poussaient à sa surface. Le robot, d'un blanc immaculé eut sa teinte qui vira ensuite vers le jaune, puis le orange léger, avant que s'accélère l'explosion. Le orange se mua rapidement en rouge, puis en noir carbonisé alors que l'enveloppe du robot se déchirait. Les flammes et le souffle se propagèrent avec une étonnante rapidité, remplissant très rapidement l'accueil d'une géante boule de feu. La vision, comme une caméra qui filmait très rapidement, donc au ralenti, ne servait à rien pour prendre la fuite. Le corps, lui avait ses limites. Et c'est ainsi que comme tous les autres, les antis qui avait vu le détail de l'explosion ne firent que mettre les bras devant leur visage. Offrant par réflexe ce dérisoire barrage au souffle puissant et à la chaleur insoutenable.
Le souffle se propagea en dehors de l'accueil, propulsant une fumée opaque et très sombre dans le hall immense, avant que les flammes et les boules de feu percent au travers d'elle. L'explosion atteint les toilettes quelques millisecondes après avoir ravagé l'accueil.
Encore une fois, le son se propagea un peu partout, avant que le souffle ne fasse effondrer le plafond très haut au dessus du sol qui se noircissait.
Le silence revint, les lumières s'éteignirent et celles rouges signalant un danger et une évacuation précipitée de la base se mirent à clignoter. Une alarme se fit entendre du fin fond du niveau, de l'autre côté des éboulis alors que de grandes plaques de plafond vacillaient puis s'effondraient. Autours de l'accueil, il n'y avait pas d'alarme, toutes avaient brûlées.
Patty avait mal. La vache, être si prêt de l'explosion et en sortir vivante! C'était incompréhensible...Remarquez, elle était du bon côté du bureau. L'explosion avait principalement été orienté vers la sortie de l'accueil et un reste de robot avait été projeté dans l'autre sens, vers le mur du fond derrière le bureau. Le robot gisait à côté de la mécano. La vache, elle morflait grave! Et sa peau la picotait sévèrement là où sa combinaison de la recouvrait pas. Elle put cependant se rassurer en constatant que ses cheveux ne cramaient pas, et étaient toujours là! Ces shampoings de protection fabriqués pour les mécanos qui bossaient en milieux dangereux et qui pouvaient côtoyer des flammes faisaient de vrais miracles! Bordel, mais qu'est ce qu'elle avait au flanc gauche? Ça faisait vraiment mal!
En fait, l'irlandaise avait été propulsée contre le rebord d'un présentoir, qu'elle s'était pris au niveau du flanc gauche. Peut-être s'était-elle cassé quelque chose? En tout cas, ce n'était probablement pas le moment de se soucier de ça. Un morceau de plafond s'effondra, et il s'en fallu d'un cheveu, et d'un réflexe bien venu pour qu'elle se le prenne dans la tronche et que sa tête écrasée n'arrête définitivement sa participation dans ce merdier...
Travis lui se porte comme un charme! Il était directement à l'entrée de l'accueil, aussi, lorsque la bombe explosa, il fut projeté à l'extérieur et la porte en plastique mou ne lui fit pas un mal insupportable. Elle lui fit moins mal du moins que le pot de fleur qui lui broya la jambe droite alors qu'il le percuta et que le sol sur lequel il rebondit, ainsi que l'écran oled qu'il traversa en le déchirant et en s'enfonçant des milliers de nanoleds dans la peau. Pire que tout, il ne savait pas bien où était passé son fusil. Peut être que c'était ça l'enfer! Handicapé, sous un plafond en train de s'effondrer, et sans fusil à pompe pour tirer dans les marais...
Chez Water, c'est la porte qui avait été propulsée. Un poil déchirée elle percuta JF qui fut déséquilibré vers l'avant...Se vautrant dans la fontaine à impesanteur, il se retrouva couvert de pisse mêlée à l'eau désodorisante. Toute fois, il eut bien été stupide de s'en plaindre! Avoir été jeté dans le liquide peut ragoûtant lui sauva la vie. Car si le souffle brûlant s'échappa de l'accueil, il pénétra les toilettes. La différence en fut un état de surpression qui crama tout ce qui s'y trouvait. Dans la pissotière, une bonne partie de l'eau et de l'urine se vaporisa instantanément, mais l'épaisseur de liquide fut suffisante pour protéger l'esseulé. Après avoir patiemment attendu que la boule de feu s'apaise, il put ressortir et constater qu'il n'avait subit strictement aucun autre dommage que de puer légèrement...
Marthus- Messages : 1197
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Re: Allo...Huston?
"What the hell..."
La jambe défoncée, sa combi abîmé, il restait au moins son fusil à pompe qui e... mais ou est le fusil à pompe. Il en aurait bien besoin pour se relever.
"Hey! besoin d'aide ici, ma jambe à bien morflée..."
Travis essaye de voir pour se relever, parceque oui Travis c'est un barbare des montagnes, et qu'il est pas content!!!
La jambe défoncée, sa combi abîmé, il restait au moins son fusil à pompe qui e... mais ou est le fusil à pompe. Il en aurait bien besoin pour se relever.
"Hey! besoin d'aide ici, ma jambe à bien morflée..."
Travis essaye de voir pour se relever, parceque oui Travis c'est un barbare des montagnes, et qu'il est pas content!!!
Salem- Messages : 718
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Re: Allo...Huston?
JF était tranquillement en train de "réfléchir" à la situation quand un bruit assourdissant se fit entendre et que la porte des toilettes le projeta dans une mare d'urines. Sa première pensée fut: "quelle merde!", mais très vite il réalisa qu'il allait perdre la vie dans une immense boule de feu qui pénétrait le petit local où il se trouvait.
Se voyant déjà mort il fut surpris de découvrir que ce qui à ses yeux était un manque sérieux de chance se révéla être en fait ce qui allait lui permettre de continuer cette aventure.
JF s'extirpa tant bien que mal de sa "bulle" protectrice une fois le danger disparu.
Putain, mais qu'est ce qu'il s'est passé ici? Ils ont fait quoi les erreurs?
JF se dirigea lentement, prudemment vers le couloir et l'accueil pour voir d'où était venue la langue de flamme qui avait failli avoir raison de lui.
Se voyant déjà mort il fut surpris de découvrir que ce qui à ses yeux était un manque sérieux de chance se révéla être en fait ce qui allait lui permettre de continuer cette aventure.
JF s'extirpa tant bien que mal de sa "bulle" protectrice une fois le danger disparu.
Putain, mais qu'est ce qu'il s'est passé ici? Ils ont fait quoi les erreurs?
JF se dirigea lentement, prudemment vers le couloir et l'accueil pour voir d'où était venue la langue de flamme qui avait failli avoir raison de lui.
JF- Messages : 326
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Re: Allo...Huston?
[HJ: Bon on va continuer en attendant Patty...]
Quelques hommes et femmes se relevèrent. Certains saignaient abondamment, d'autres se tenaient des membres, le visage trahissant leur douleur. Beaucoup avaient perdu leur cheveux. Heureusement, ils s'étaient consumés d'un coup. S'ils avaient brûlé lentement, les flammes auraient pu provoquer de plus vilaines brûlures qu'elles ne l'étaient actuellement.
Le mec débraillé, le bras droit de Kiren, fut un des premiers à s'être relevé. Il n'avait pratiquement rien. Il était probablement le seul à s'être jeté au sol assez vite. Étonnamment, si tout le monde gémissait et se lamentait, il n'y avait que quelques morts visibles rapidement. Deux d'entre eux étaient Kiren et la vieille femme à côté de laquelle il était resté. Ils étaient restés dans le hall à discuter gravement alors que la majeur partie des membres de l'expédition étaient entrés dans la réception.
Trois antis se relevèrent aussi, après s'être assurés d'être suffisamment bien portant. Ils aidaient les autres à récupérer, bandaient ceux qui saignaient et tentaient de confectionner des attèles rudimentaires avec les débris des présentoirs en charpie.
On comptait trois morts de plus dans la réception. Un avait été broyé par un large présentoir qui l'avait coincé contre un mur. Une autre avait été écrasée par les débris d'un pilier en béton qui s'était effondré. C'était pas beau à voir. Enfin, une deuxième femme s'était faite proprement couper en deux par un débris de la bombe.
Un type qui aurait pu paraître charmant s'il n'avait pas eu ce regard si désabusé se pencha au dessus de Patty. Il lui présentait sa main pour l'aider à se relever.
Dehors un mec et une nana vinrent au secours de Travis. Ils balisèrent un peu en voyant la jambe en miette, mais se reprirent rapidement. Après tout, ils avaient été formés pour. La nana sortit d'une de ses poches de gilet militaire une immense seringue. Et sans plus d'émoi pour le blessé, l'enfonça d'un coup sec en haut de la jambe, là où les os tenaient encore la marée.
De la morphine! Tu vas bientôt te sentir comme dans du coton. Mais ne t'inquiètes pas.
Le bras droit de Kiren sembla reprendre ses esprits.
Faut...faut qu'on prenne les corps et qu'on les ramène à la navette. Oui...à la navette...
Il y a des sarcophages à demi-vie dans le compartiment technique. Il y en a largement assez. Il faut se dépêcher avant qu'ils ne meurent.
Tout son attitude allait à l'encontre de ses directives qui paraissaient sensées. Il était debout, les bras ballant et le regard perdu dirigé vers la dépouille de Kiren qui gisait à ses pieds.
Quelques hommes et femmes se relevèrent. Certains saignaient abondamment, d'autres se tenaient des membres, le visage trahissant leur douleur. Beaucoup avaient perdu leur cheveux. Heureusement, ils s'étaient consumés d'un coup. S'ils avaient brûlé lentement, les flammes auraient pu provoquer de plus vilaines brûlures qu'elles ne l'étaient actuellement.
Le mec débraillé, le bras droit de Kiren, fut un des premiers à s'être relevé. Il n'avait pratiquement rien. Il était probablement le seul à s'être jeté au sol assez vite. Étonnamment, si tout le monde gémissait et se lamentait, il n'y avait que quelques morts visibles rapidement. Deux d'entre eux étaient Kiren et la vieille femme à côté de laquelle il était resté. Ils étaient restés dans le hall à discuter gravement alors que la majeur partie des membres de l'expédition étaient entrés dans la réception.
Trois antis se relevèrent aussi, après s'être assurés d'être suffisamment bien portant. Ils aidaient les autres à récupérer, bandaient ceux qui saignaient et tentaient de confectionner des attèles rudimentaires avec les débris des présentoirs en charpie.
On comptait trois morts de plus dans la réception. Un avait été broyé par un large présentoir qui l'avait coincé contre un mur. Une autre avait été écrasée par les débris d'un pilier en béton qui s'était effondré. C'était pas beau à voir. Enfin, une deuxième femme s'était faite proprement couper en deux par un débris de la bombe.
Un type qui aurait pu paraître charmant s'il n'avait pas eu ce regard si désabusé se pencha au dessus de Patty. Il lui présentait sa main pour l'aider à se relever.
Dehors un mec et une nana vinrent au secours de Travis. Ils balisèrent un peu en voyant la jambe en miette, mais se reprirent rapidement. Après tout, ils avaient été formés pour. La nana sortit d'une de ses poches de gilet militaire une immense seringue. Et sans plus d'émoi pour le blessé, l'enfonça d'un coup sec en haut de la jambe, là où les os tenaient encore la marée.
De la morphine! Tu vas bientôt te sentir comme dans du coton. Mais ne t'inquiètes pas.
Le bras droit de Kiren sembla reprendre ses esprits.
Faut...faut qu'on prenne les corps et qu'on les ramène à la navette. Oui...à la navette...
Il y a des sarcophages à demi-vie dans le compartiment technique. Il y en a largement assez. Il faut se dépêcher avant qu'ils ne meurent.
Tout son attitude allait à l'encontre de ses directives qui paraissaient sensées. Il était debout, les bras ballant et le regard perdu dirigé vers la dépouille de Kiren qui gisait à ses pieds.
Marthus- Messages : 1197
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Re: Allo...Huston?
JF réagit au quart de tour:
Ouais putain, t'as raison mec, on s'casse, on va pas crever ici merde!
se tournant vers Salem:
Allez, bouge ton gros cul, on rentre à la maison, on va pas trainer ici...
Ouais putain, t'as raison mec, on s'casse, on va pas crever ici merde!
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JF- Messages : 326
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Re: Allo...Huston?
"Rhhhaaaa putain de pute, viens m'aider plutôt qu'ouvrir ta grande gueule!!!!!!!!!!!!!"
"Faites quelque chose pour ma jambe bordel!"
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Salem- Messages : 718
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Re: Allo...Huston?
OK! Mais ça va faire un peu mal...
La femme, une sadique à n'en point douter, attrapa deux morceaux de bois provenant de l'intérieur de l'accueil, en cassa les bords pointus et les plaqua de chaque côté de la jambe broyée. Malgré la morphine, l'effet ne fut pas long à venir et des milliards de lames semblèrent entrer en même temps dans les chaires du pilote. Détachant l'épais bandeau qui retenait sa magnifique chevelure brune, elle le coupa à l'aide de son couteau et deux parties grossièrement égales. Avec ceci, elle sera deux nœuds pour faire tenir l'attelle.
Content monsieur le ronchon?
Le type qui n'avait pas foutu grand chose jusqu'à présent prit Travis par les épaules, et...croulant à moitié sous son poids, le hissa jusqu'à la sienne. Il soutenait ainsi le pilote pour l'aider à marcher. Cependant nul ne pouvait prédire jusqu'à quand il le pourrait sachant qu'il soufflait déjà difficilement. Il se tourna vers JF.
V...vous pouvez...*huuuu* m'aider s'il vous plait?
Tout autours d'eux des morceaux des plaques de céramique qui couvraient le plafond tombaient à des intervalles de plus en plus court. Tout s'effondrait. Et toujours pas le moindre signe d'un hypothétique ennemi.
De nombreux antis, plus ou moins frais, sortirent de l'accueil. 3 groupes de deux porteurs les moins blessés transportaient les morts. Au milieu de cette scène apocalyptique, le mec débrayé glandait toujours devant les dépouilles de Kiren et de la vieille. Il semblait perdu dans ses pensées ce qui était un curieux moment pour l'être.
5 personnes s'approchèrent de lui. Un géant, noir d'ébène avec des yeux bleus tellement clairs qu'on aurait dit qu'ils étaient blancs. C'était très curieux, ses yeux semblaient n'être que de gros globules blanc piqués d'un point noir qui variait de taille en fonction de la luminosité.
Il faut y aller Martin!
Le noir ramassa le corps de la vieille et les quatre autres s'occupèrent de celui de l'imposant directeur.
Tous, parfois soutenus par leurs camarades, se dirigeaient vers le pont qui n'avait pas trop subit de dommage. Hélas, la lumière y était coupée ce qui ne présageait rien de bon.
Alors qu'il soutenait un anti, un type complètement imberbe, il n'avait pas même de sourcils, se fit écraser par une large plaque de céramique. Prévenu par un cri, il avait tout juste eut le temps de pousser légèrement le blessé qu'il transportait avant de se faire aplatir comme une crêpe.
Celui ci, les yeux révulsés, ne parvenait pas à quitter du regard le tas informe de céramique brisée et de chaires éparpillées. Il bafouillait.
Qu...que que...Comment on va...va pouvoir le transporter maintenant?
Martin qui semblait toujours extraordinairement pensif le releva en lui disant.
Je crains qu'il n'y ait pas de moyen Dayfis.
La femme, une sadique à n'en point douter, attrapa deux morceaux de bois provenant de l'intérieur de l'accueil, en cassa les bords pointus et les plaqua de chaque côté de la jambe broyée. Malgré la morphine, l'effet ne fut pas long à venir et des milliards de lames semblèrent entrer en même temps dans les chaires du pilote. Détachant l'épais bandeau qui retenait sa magnifique chevelure brune, elle le coupa à l'aide de son couteau et deux parties grossièrement égales. Avec ceci, elle sera deux nœuds pour faire tenir l'attelle.
Content monsieur le ronchon?
Le type qui n'avait pas foutu grand chose jusqu'à présent prit Travis par les épaules, et...croulant à moitié sous son poids, le hissa jusqu'à la sienne. Il soutenait ainsi le pilote pour l'aider à marcher. Cependant nul ne pouvait prédire jusqu'à quand il le pourrait sachant qu'il soufflait déjà difficilement. Il se tourna vers JF.
V...vous pouvez...*huuuu* m'aider s'il vous plait?
Tout autours d'eux des morceaux des plaques de céramique qui couvraient le plafond tombaient à des intervalles de plus en plus court. Tout s'effondrait. Et toujours pas le moindre signe d'un hypothétique ennemi.
De nombreux antis, plus ou moins frais, sortirent de l'accueil. 3 groupes de deux porteurs les moins blessés transportaient les morts. Au milieu de cette scène apocalyptique, le mec débrayé glandait toujours devant les dépouilles de Kiren et de la vieille. Il semblait perdu dans ses pensées ce qui était un curieux moment pour l'être.
5 personnes s'approchèrent de lui. Un géant, noir d'ébène avec des yeux bleus tellement clairs qu'on aurait dit qu'ils étaient blancs. C'était très curieux, ses yeux semblaient n'être que de gros globules blanc piqués d'un point noir qui variait de taille en fonction de la luminosité.
Il faut y aller Martin!
Le noir ramassa le corps de la vieille et les quatre autres s'occupèrent de celui de l'imposant directeur.
Tous, parfois soutenus par leurs camarades, se dirigeaient vers le pont qui n'avait pas trop subit de dommage. Hélas, la lumière y était coupée ce qui ne présageait rien de bon.
Alors qu'il soutenait un anti, un type complètement imberbe, il n'avait pas même de sourcils, se fit écraser par une large plaque de céramique. Prévenu par un cri, il avait tout juste eut le temps de pousser légèrement le blessé qu'il transportait avant de se faire aplatir comme une crêpe.
Celui ci, les yeux révulsés, ne parvenait pas à quitter du regard le tas informe de céramique brisée et de chaires éparpillées. Il bafouillait.
Qu...que que...Comment on va...va pouvoir le transporter maintenant?
Martin qui semblait toujours extraordinairement pensif le releva en lui disant.
Je crains qu'il n'y ait pas de moyen Dayfis.
Marthus- Messages : 1197
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Re: Allo...Huston?
Qu'est ce que je pourrai bien faire, à part me faire trainer par "j'aime pas les gens différents".... tiens, ça me rappel un soldat qui suivait derrière un punk dans un sous sol moisi...
"Hey, faites gaffe, chui sûr que ça va être le bordel dans le hall"
"toi, la bas, ouai... retrouve moi mon pompeux!!!"
"Hey, faites gaffe, chui sûr que ça va être le bordel dans le hall"
"toi, la bas, ouai... retrouve moi mon pompeux!!!"
Salem- Messages : 718
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Re: Allo...Huston?
Le bordel tu crois?
Putain, on est morts... ON VA TOUS MOURIIIIRRR!!!
On fait quoi dit? J'veux pas crever ici tout seul... Pourquoi ils ont fait ça? Je croyais qu'c'étaient vos potes!
Putain, on est morts... ON VA TOUS MOURIIIIRRR!!!
On fait quoi dit? J'veux pas crever ici tout seul... Pourquoi ils ont fait ça? Je croyais qu'c'étaient vos potes!
JF- Messages : 326
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Re: Allo...Huston?
Un mec complètement apeuré, avec une tête de gland encore pire que celle de JF voit un doigt pointé dans sa direction.
Ouai toi là!
Et meeeerde se dit-il.
Retrouves moi mon pompeux!
Des dalles tombent, de ci de là, c'est dur d'à la fois concentrer son regard vers le haut et le bas pour chercher l'arme. Finalement, un bout noir apparait au milieu des décombres. Il tente une vive traction dessus mais ne parvient pas à mouvoir l'énorme monticule de gravas. Il bredouille.
C'...c'est coincé!
Pendant ce temps, les autres antis, un peu plus à même de garder une once de sang-froid se dirigent vers le hall en bas du tunnel à funiculaire.
Les éclairages habituels ont été coupés, ne persistent plus que les faibles lampes rouges auto-alimentées. Après avoir brièvement tenté de faire démarrer un des wagons, un type s'exclame.
Plus d'jus!
Il se retourne vers les autres et crie:
VA FALLOIR REMONTER A PIEDS!
Un son puissant, très bas, retentit. Comme si l'édifice entier se mettait à geindre.
Une femme avec des yeux jaunes marmonnait à toute vitesse un truc incompréhensible. Elle s'arrêta d'un coup sec. Et se tourna vers le duo qui soutenait Travis.
Ho mes dieux! L'édifice! Il ne peut pas tenir! La surpression provoquée par la bombe a écarté les parois dans la roche friable lunaire. Il va couler dans la lune et on va se faire écraser par la pression! Il faut se dépêcher!
Ouai toi là!
Et meeeerde se dit-il.
Retrouves moi mon pompeux!
Des dalles tombent, de ci de là, c'est dur d'à la fois concentrer son regard vers le haut et le bas pour chercher l'arme. Finalement, un bout noir apparait au milieu des décombres. Il tente une vive traction dessus mais ne parvient pas à mouvoir l'énorme monticule de gravas. Il bredouille.
C'...c'est coincé!
Pendant ce temps, les autres antis, un peu plus à même de garder une once de sang-froid se dirigent vers le hall en bas du tunnel à funiculaire.
Les éclairages habituels ont été coupés, ne persistent plus que les faibles lampes rouges auto-alimentées. Après avoir brièvement tenté de faire démarrer un des wagons, un type s'exclame.
Plus d'jus!
Il se retourne vers les autres et crie:
VA FALLOIR REMONTER A PIEDS!
Un son puissant, très bas, retentit. Comme si l'édifice entier se mettait à geindre.
Une femme avec des yeux jaunes marmonnait à toute vitesse un truc incompréhensible. Elle s'arrêta d'un coup sec. Et se tourna vers le duo qui soutenait Travis.
Ho mes dieux! L'édifice! Il ne peut pas tenir! La surpression provoquée par la bombe a écarté les parois dans la roche friable lunaire. Il va couler dans la lune et on va se faire écraser par la pression! Il faut se dépêcher!
Marthus- Messages : 1197
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Re: Allo...Huston?
"Mais putain, chui pilote moi, par sportif de haut niveau, en plus j'ai une jambe qui part en couille..."
regardant l'assemblée complètement agard, abandonné par toute idéede scénario crédible sans touche reset... de quoi faire, Travis fi ce qui ferait un leader qui se respecte:
"BOUGER VOUS LE CUL!! REPLI STRATEGIQUE AU VAISSEAU"
Puis se tourne vers le pauvre herse qui cherchait à sortir le précieux fusil à pompe: "toi, tu pars pas sans avoir récupéré mon fusil, sinon j't'éjecte du vaisseau pendant que t'iras aux chiottes!"
Aider par deux trouduc', Travis fuyait du mieux qu'il pouvait vers so ncher vaisseau qui n'attendais que lui pour repartir...
regardant l'assemblée complètement agard, abandonné par toute idée
"BOUGER VOUS LE CUL!! REPLI STRATEGIQUE AU VAISSEAU"
Puis se tourne vers le pauvre herse qui cherchait à sortir le précieux fusil à pompe: "toi, tu pars pas sans avoir récupéré mon fusil, sinon j't'éjecte du vaisseau pendant que t'iras aux chiottes!"
Aider par deux trouduc', Travis fuyait du mieux qu'il pouvait vers so ncher vaisseau qui n'attendais que lui pour repartir...
Salem- Messages : 718
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